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Yvette Thérèse Laurier/Lemoine est née le 8 mars 1931 dans son Montréal bien-aimé et est décédée paisiblement à son domicile de Moncton entourée d’une famille aimante. Yvette est précédée par son époux, Jean-Louis Lemoine, ses parents Bernadette Viger et Alphonse Laurier ainsi que ses frères, Marcel, Robert et Philippe.
Elle laisse dans le deuil ses cinq enfants, Louis(Terry) Brookbank, Michel(Evelyn), Robert(Carole), Yves(Rochana) et Diane Phillips(John) et ses petits-enfants Sophie, Gabrielle, Tracy, Greg, Stephanie, Christian, Patrique , Stefan, Laura, Kenneth, Matthew, Daniel, Joshua et Sarah. Elle laisse également dans le deuil 24 arrière-petits-enfants.
Yvette était une épouse et une mère dévouée et aimante. La nourriture était toujours copieuse et savoureuse, les lits étaient toujours confortables. Elle a eu la chance de posséder des prouesses athlétiques qui lui ont permis de participer à des compétitions de patinage et de natation. Elle était également une passionnée de ski sur la neige et sur l’eau. Ses compétences au tennis, à la voile et au golf étaient impressionnantes et elle n’était pas non plus une mauvaise joueuse de quilles. Elle aimait les longues promenades dans la nature, que ce soit à travers les bois ou le long des côtes. Elle avait la passion d’être près de l’océan. Elle aimait la ville, mais elle était dans l’âme une fille de la campagne.
Elle adorait partager ses histoires d’enfance à Montréal et ses étés passés près de Sorel, au bord du fleuve Saint-Laurent, où elle a rencontré son futur mari Jean-Louis. Elle traînait avec ses frères, conduisait des jeeps, jouait au tennis, nageait et faisait de la voile. Elle appréciait les heures qu’elle passait dans le jardin avec son père qu’elle adorait. Son amour des fleurs était quelque chose qu’elle avait entretenu toute sa vie et ses deux pouces étaient verts.
Elle aimait la musique, en particulier la musique de danse. Elle s’animait sur la piste de danse, notamment au rythme d’une bonne rumba ou d’un air disco. Quand elle dansait, ses yeux et son sourire prenaient vie.
Elle était une fine observatrice du monde qui l’entourait. Une fois les responsabilités de la maternité diminuées, elle se consacre à son art, réalisant de nombreuses toiles qui ornent ses murs.
Yvette était une personne calme et introspective, peu encline aux conversations inutiles, et à bien des égards assez stoïque face à la vie. Elle était la matriarche et elle manquera à sa famille nombreuse et aimante.
Une célébration de la vie au bord de la tombe aura lieu au printemps prochain à Montréal.
La famille vous invite à signer un livre de condoléances en ligne au : www.funerairepassagefuneral.ca.
Les arrangements ont été confiés aux soins professionnels de la Coopérative Funéraire Passage et Centre de Crémation.
Chers cousine et cousins,
Toutes mes pensées. sont avec vous dans ces moments…. Une mère nous en avons juste une…. elle veillera sur vous tous j’en suis certaine!!!
Mes plus sincères condoléances à toute la famille.
Chers cousins et cousines, je vous offre mes plus sincères sympathies. Comme l’a dit VICTOR HUGO …. Tu n’es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis